Low-Tech Journal

Le Low-Tech Journal est le seul périodique papier dédié aux technos douces et à l'exploration des futurs désirables. Tous les deux mois, nous montrons dans nos pages que l'on sait faire autrement - sans innovation high-tech, sans volonté de prédation et sans le capitalisme financier. Et on montre comment, à travers des articles des reportages, des entretiens et des tutos. 

Notre objectif est de proposer un magazine toujours concret, utile et accessible. Qui vulgarise la technique et la pensée écologique. D'ailleurs, nous sommes adossés à une maison d'édition (Dandelion) dédiée à l'écologie populaire et aux champs inexplorés.

Le magazine est libre dans sa tête et indépendant - 90 % de notre budget est financé par les abonnés. Nous pratiquons la "publicité informative" : une seule page de publicité, uniquement pour des projets sélectionnés par la rédaction, qui sont en cohérence avec le thème du magazine, et à un tarif tout à fait raisonnable. D'ailleurs, nous luttons contre le greenwashing et tous nos contenus sont relus par un comité éthique et technique.

Sur la forme, le magazine fait le pari de la légèreté : 36 pages, papier recyclé, impression en Normandie, polices d'écriture économes en encre, couleurs désaturées pour économiser l'encre, sans kiosque ni stock (80 % de précommandes pour moins de gaspillage) et une présence digitale minimale (Telegram + Instagram). Chaque numéro est porté par une équipe de 2 journalistes et 1 graphiste, à laquelle s'associent des "experts" (chercheurs, ingénieurs, explorateurs) qui partagent leurs connaissances et leurs expériences (par exemple le cinéaste Adrien Bellay ou le bricoleur Barnabé Chaillot).

Grâce à ses 3 000 abonnés - malgré une absence en kiosque - le magazine maintient son équilibre financier grâce à une présence dans les salons spécialisés. Nous nous appliquons les logiques du modèle coopératif : 1 € gagné est 1€ réinvesti dans la production du magazine. Enfin, nous privilégions les espaces collectifs (bibliothèques, tiers-lieux, entreprises), où le magazine pourra passer entre plusieurs mains plutôt qu'être oublié sur une étagère.